OTTAWA, ON – Le Vatican a fait l’annonce officielle ce matin que le Pape François voyagera au Canada du 24 au 29 juillet 2022 pour rencontrer les peuples autochtones de ce pays dans un pèlerinage de guérison, de réconciliation et d’espoir.
Par le biais de son annonce, le Vatican a confirmé que le Saint-Père fera trois arrêts lors de sa visite au Canada : Edmonton, la ville de Québec et Iqaluit. Ces lieux ont été choisis pour limiter les déplacements du Pape compte tenu de son état de santé tout en permettant des rencontres intimes et publiques qui permettront la participation des Autochtones de partout au pays.
Monseigneur Marcel Damphousse, l’archevêque d’Ottawa-Cornwall, accueille chaleureusement la nouvelle de la visite du Saint-Père.
« Je crois que la visite du Saint-Père fera un bien énorme pour les peuples autochtones comme pour l’ensemble des fidèles catholiques du Canada. Puisque sa mission consiste à poursuivre un chemin de guérison et de réconciliation avec les peuples autochtones de ce pays, le Pape François saura donner un élan d’espoir. » a dit Monseigneur.
L’itinéraire complet de la visite sera partagé un peu plus tard afin de planifier le programme en étroite collaboration avec les partenaires autochtones locaux et nationaux. Durant son voyage, il est attendu que le Pape visite un ancien site d’une école résidentiel et d’autres lieux ayant une signification particulière.
Les personnes qui souhaitent avoir davantage d’informations sur la visite papale au Canada peuvent trouver les dernières mises à jour à l’adresse suivante : www.visitepapale.ca Visitez aussi https://fr.archoc.ca/visite-papale pour des mises à jour au sujet des activités connexes au sein de l’Archidiocèse d’Ottawa-Cornwall.
le 17 mars 2022
La nomination par le pape François du Père Yvan Mathieu, S.M., comme mon évêque auxiliaire est une réponse à mes prières et aux prières des nombreux fidèles de notre diocèse. Je l'accueille avec joie et gratitude pour son oui généreux et sa volonté de servir l'Église qu'il aime. Je suis bien conscient du grand sacrifice qu'il a fait en laissant sa communauté religieuse sans leur supérieur provincial. Je tiens à remercier personnellement les Pères Maristes d'avoir généreusement accepté sa nomination comme évêque. La formation et la spiritualité qu'il a reçues au cours des nombreuses années passées avec vous seront un cadeau pour notre Église locale et universelle. Je prie le Seigneur de vous guider dans les semaines et les mois à venir et de vous accorder de nombreuses nouvelles vocations.
Mgr Mathieu n'est pas un étranger à Ottawa. Bien qu'il soit originaire de la ville de Québec, il a passé de nombreuses années ici pour ses études et, actuellement, comme professeur à l'Université Saint-Paul. Plusieurs diacres permanents et prêtres ont eu le plaisir de l'entendre lors de journées pastorales, de formations en Écriture Sainte et de retraites. Je crois sincèrement que Mgr Mathieu s'installera rapidement et se familiarisera avec ses nouvelles responsabilités. Il sera un ajout bienvenu à notre équipe pastorale alors que nous poursuivons notre cheminement pour devenir une Église missionnaire. Parlant couramment plusieurs langues, il sera heureux de partager la joie de l'Évangile avec tous ceux qu'il rencontrera et servira.
La planification de l'ordination de Mgr Mathieu est en cours. Une date n'a pas encore été déterminée mais nous espérons l'annoncer bientôt. Nous espérons l'accueillir et le présenter à notre archidiocèse le 12 avril lors de la messe chrismale.
✠Marcel Damphousse
Archevêque d'Ottawa-Cornwall
le 13 mars 2022
Chers frères et soeurs dans le Christ,
"Le Seigneur est ma lumière et mon salut" (Psaume 27 du 2ème dimanche du Carême)
Je prie pour que votre Carême soit bien commencé alors que nous entrons dans ce temps de
pénitence et de conversion en vue de la célébration de Pâques.
Nous continuons à observer avec horreur et chagrin l'invasion russe de l'Ukraine et la
souffrance des Ukrainiens alors que la crise humanitaire s'aggrave, obligeant tant de personnes à fuir comme réfugiés. Je sais que de nombreux catholiques ont offert leurs prières et leur jeûne pour le peuple ukrainien. Matériellement, beaucoup ont fait des dons pour aider à soulager les souffrances par l'intermédiaire de l’Association catholique d’aide à l’Orient (CNEWA), de Développement et Paix, de la Croix-Rouge ou d'une autre agence.
Je demande aux curés de désigner la célébration de l'Eucharistie de ce dimanche 12 mars,
deuxième dimanche de carême, comme journée de prière pour la fin de l'invasion et pour le
bien-être du peuple ukrainien afin d’exprimer notre solidarité avec nos soeurs et frères en Jésus Christ.
Veuillez ajouter une intention aux Prières des fidèles pour l'Ukraine. Je sais que de nombreuses paroisses le font déjà, mais je vous encourage à inclure cette intention pendant la crise actuelle.
Tout au long de ce Carême, je vous encourage à trouver des moyens pour inciter les gens à
prier pour mettre fin à cette injustice qui entraîne tant de souffrances et de morts en Ukraine.
Offrons nos prières personnelles, le rosaire, le chapelet de la divine miséricorde, une litanie
préférée, l'adoration eucharistique ou d'autres prières, ainsi que nos jeûnes, pour la paix dans
l'Ukraine. Intensifions nos supplications au Seigneur pour qu'il mette fin à cet acte de guerre
insensé et pour qu'il vienne en aide au peuple ukrainien.
Que notre Sainte Mère Marie, Reine de la Paix, intercède pour le peuple ukrainien.
✠Marcel Damphousse
Archevêque d'Ottawa-Cornwall
La Paix soit avec vous.
L’Église entamera les quarante jours saints du Carême le 2 mars, journée où nous serons non seulement marqués des cendres mais invités à entrer sérieusement dans une attitude de conversion. Comment vivrons-nous les prochaines semaines qui nous conduiront jusqu’au sacrifice ultime du Christ sur la croix et sa victoire glorieuse sur la mort et le mal?
Nous y parviendrons en autant que nous garderons notre focus sur le Seigneur qui nous guidera. Par la prière, le jeûne et l’aumône, les chrétiens du monde entier se donneront des moyens pour être davantage à l’écoute de Dieu et plus attentifs aux besoins de leurs prochains.
Est-ce important pour nous?
Le climat dans lequel nous nous retrouvons ces jours-ci est troublant. Au sein des complexités de notre monde, il est facile d’être distrait, de perdre patience, de se laisser emparer par la peur et de porter atteinte à la dignité de l’être humain qui se trouve à côté de soi ou à distance. Nous venons de vivre un temps intense dans la capitale nationale à la suite d’une longue pandémie qui nous a éprouvé de bien des manières. Cette expérience s’est vécue de différentes façons au sein de nos familles, de nos paroisses, de nos milieux de travail. Les frustrations accumulées se sont manifestées de différentes façons, laissant sur notre parcours des gens blessés, incompris, vulnérables et en quête de paix profonde.
Que dire également de nos frères et soeurs de l’Ukraine qui sont ébranlés ces jours-ci par l’invasion injustifiée des Russes dans leur pays. Je me compte parmi ceux et celles qui se soucient des conséquences sérieuses d’une guerre qui pourrait prendre des dimensions mondiales. Prions pour la paix et une juste solution à cette crise internationale.
Afin d’établir la paix autour de nous et dans notre monde, il faut d’abord que cette paix divine règne dans nos coeurs. La paix véritable ne peut prendre forme et transformer notre agir que par une communion intentionnelle et durable avec notre Seigneur Jésus Christ. C’est en Lui que nous trouverons le Chemin, la Vérité et la Vie. En Lui seul, découvrirons-nous l’amour miséricordieux qui guérit et qui pardonne même les coeurs les plus endurcis. Notre espérance repose sur Lui seul qui demeure fidèle à son Père et qui nous promet la vie éternelle. Il sera donc essentiel de faire de ce temps du Carême un temps sincère de conversion à la suite de Jésus Christ. Alors que nos églises reprendront avec plus d’aisance les liturgies et les dévotions de notre riche tradition, grâce aux changements des restrictions imposées par la pandémie, profitons de cette grâce pour renouveler notre foi et notre pratique religieuse. Prions d’une façon intentionnelle pour la paix dans nos dévotions personnelles et communautaires.
Adoptons la pratique quotidienne de l’écoute à l’Esprit Saint qui habite nos coeurs et qui nous unit au Père et au Fils. Voilà l’esprit dans lequel nous sommes invités à vivre le processus synodal lancé par le Pape François. Il s’agit d’une invitation à tous les membres de l’Église d’être à l’écoute de l’Esprit-Saint pour être davantage unis dans nos efforts pour la construction du Royaume de Dieu. Cet apprentissage à l’écoute des uns et des autres tout au long de ce processus synodal est la voie par laquelle le Saint Père souhaite unir la diversité au sein de notre Église qui a tendance à diviser notre grande famille. Il s’agit un des 5 principes-clés de notre processus synodal diocésain (ce document sera affiché bientôt sur https://fr.archoc.ca/synode-2021-2023 ). Tout en donnant à chacun la chance d’exprimer librement sa pensée et ses souhaits pour notre Église, cet exercice spirituel doit chercher à unir et revitaliser notre Église, et non la diviser.
Soutenons-nous les uns les autres dans la prière et la charité tout au long de ce Carême.
✠Marcel Damphousse
18 février 2022
Chers frères et soeurs dans le Christ,
Nous avons tous prié pour la fin de la pandémie du coronavirus et pour la nécessité de mettre en place des mesures de prévention en matière de santé. Il semble que nous sommes à la veille de sortir du pire de la vague actuelle de la pandémie et qu'à l'approche du Carême, la vie pourrait revenir à ce que nous connaissions avant d'entendre les mots "Covid" ou "pandémie".
J'ai le plaisir d'annoncer qu'au moment où le gouvernement provincial s'apprête à assouplir les restrictions, je modifie la politique sur le port obligatoire du masque (publiée le 14 janvier 2022).
À partir du 1er mars, les personnes ayant une exemption médicale valide du port d'un masque pourront participer en personne sans être obligées de porter un masque. Malheureusement, comme certaines personnes ont prétendu avoir une exemption médicale valide alors qu'elles ne l'avaient pas, les pasteurs ont le droit discrétionnaire de demander la preuve d'une exemption médicale. Légalement, dans nos églises, nous sommes autorisés à demander une preuve, mais beaucoup de ceux qui ont une exemption médicale légitime sont déjà bien connus de leurs pasteurs. Je laisse donc à la discrétion du pasteur et de son équipe le soin de déterminer si une vérification est nécessaire.
Pour clarifier, pour le moment, les masques sont toujours requis à l'intérieur pour ceux qui n'ont pas d'exemption médicale valide. Tant que les autorités sanitaires provinciales et locales exigeront le port du masque à l'intérieur, nous continuerons à l'exiger pour assister à la messe, à d'autres liturgies ou à des fonctions paroissiales, tel qu’exigé par le gouvernement.
Je tiens à remercier une fois de plus tout le monde pour les sacrifices que vous avez faits et le travail que vous avez accompli pour que nos paroisses soient aussi sécuritaires que possible et que nous puissions garder nos églises ouvertes. Je sais que la dernière politique sur les masques obligatoires a été difficile et je suis soulagé de l'abroger.
Je prie pour que vous ayez un Carême fructueux et une célébration de la Semaine Sainte qui culmine dans le moment le plus important de l'histoire - la Résurrection du Christ notre Seigneur !
Que Dieu vous bénisse.
✠Marcel Damphousse
Archevêque d’Ottawa-Cornwall
Chers frères et sœurs,
« Aujourd’hui la paix véritable vient du ciel sur notre terre! » (Antienne d’ouverture, messe de la nuit)
Quelle parole de réconfort pour un monde en désarroi! Merci Dieu notre Père pour le cadeau de ton Fils que nous fêtons ce Noël. Au milieu de nos inquiétudes, de nos soucis, de nos peurs qui nous paralysent et nous divisent, nous accueillons durant la Sainte Nuit, la paix véritable, le Prince-de-la-Paix tel qu’annoncé par le Prophète Isaïe.
Joseph et Marie sont les premiers à bénéficier de la grâce pacifique, du baume de paix que leur apporte leur nouveau-né. Au cours du long trajet de Nazareth à Bethléem, devant l’incapacité de trouver un abri dans la salle commune, surpris et déçus d’être situés dans une étable pour donner naissance à un enfant, et entourés de bergers étrangers, voilà bien des raisons pour eux d’avoir le cœur troublé; mais au contraire la paix règne. Emmanuel, Dieuavec-nous, est bien présent, incarné dans leur histoire et notre histoire pour nous révéler l’Amour. Prions donc pour la Paix véritable qui vient du ciel afin qu’elle s’établisse profondément dans la réalité de notre vie quotidienne.
Les anges ont bien raison d’annoncer qu’un Sauveur nous est né. La joie est grande pour toute l’humanité. En cette fête de Noël, faisons place à Jésus le Christ afin qu’Il puisse naître dans nos vies personnelles et communautaires. Transformés et vivifiés par sa Parole et le don de sa Vie, devenons les disciples-missionnaires heureux de témoigner de notre foi. Soyons généreux par nos gestes de charité et de miséricorde envers les moins fortunés afin d’y semer la joie et devenir ainsi de véritables agents de paix pour les gens autour de nous. Un très Joyeux Noël!
✠Marcel Damphousse
Archevêque d’Ottawa-Cornwall
Nous, les évêques catholiques du Canada, réunis en Assemblée plénière cette semaine, nous profitons de l’occasion pour affirmer aux peuples autochtones de ce pays que nous reconnaissons la souffrance vécue dans les pensionnats indiens du Canada. De nombreuses communautés religieuses et des diocèses catholiques ont servi dans ce système qui a conduit à la suppression des langues, de la culture et de la spiritualité autochtones, sans respecter la richesse de l’histoire, des traditions et de la sagesse des peuples autochtones. Nous reconnaissons les graves abus qui ont été commis par certains membres de notre communauté catholique : physiques, psychologiques, émotionnels, spirituels, culturels et sexuels. Nous reconnaissons également avec tristesse le traumatisme historique et continu, de même que l’héritage de souffrances et de défis qui perdure encore aujourd’hui pour les peuples autochtones. Avec les entités catholiques qui étaient directement impliquées dans le fonctionnement des pensionnats et qui ont déjà présenté leurs propres excuses avec sincérité1 , nous2 , les évêques catholiques du Canada, nous exprimons notre profond remords et nous présentons des excuses sans équivoque.
Nous sommes pleinement engagés dans le processus de guérison et de réconciliation. En plus des nombreuses initiatives pastorales déjà en cours dans les diocèses à travers le pays, et comme une autre expression tangible de cet engagement continu, nous promettons de nous engager à recueillir des fonds dans chaque région du pays pour soutenir les initiatives discernées localement avec les partenaires autochtones. De plus, nous invitons les peuples autochtones à cheminer avec nous dans une nouvelle ère de réconciliation, en nous aidant pour chacun des diocèses de notre pays, à prioriser les initiatives de guérison, écouter l’expérience des peuples autochtones, spécialement les survivants et survivantes des pensionnats indiens, et éduquer les membres de notre clergé, les hommes et femmes consacrés, de même que les fidèles laïcs, sur les cultures et la spiritualité autochtones. Nous nous engageons à poursuivre le travail visant à fournir les documents ou les archives qui aideront à commémorer les personnes qui sont enterrées dans des sépultures anonymes.
Ayant entendu les demandes d’inviter le pape François à s’impliquer dans ce processus de réconciliation, une délégation autochtone, composée de survivants et survivantes, d’aînés/de gardiens et gardiennes du savoir, et de jeunes rencontrera le Saint-Père à Rome en décembre 2021. Le pape François recevra et écoutera les participants et participantes autochtones, afin de discerner comment il peut appuyer notre désir commun de renouveler les relations et de marcher ensemble sur le chemin de l’espérance dans les années à venir. Nous nous engageons à travailler avec le Saint-Siège et nos partenaires autochtones sur la possibilité d’une visite pastorale du Pape au Canada dans le cadre de ce cheminement de guérison.
Nous nous engageons pour continuer de vous accompagner, les Premières Nations, les Métis et les Inuits de ce pays. Respectant votre résilience, votre force et votre sagesse, nous sommes impatients de vous écouter et d’apprendre de vous alors que nous marcherons en solidarité.
Nous nous sommes engagés à continuer le chemin avec les peuples des Premières Nations, desMétis et des Inuits de notre pays. Pour de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec le diocèse ou visiter le site www.cccb.ca/fr/.
Cliquez ici pour imprimer.
Le 24 septembre 2021
Le pape François a inauguré la première Journée mondiale des grands-parents et des personnes âgées pour le 25 juillet 2021. Le thème de cette journée de célébration est tiré de l'Évangile de Matthieu : "Je suis avec vous tous les jours" (Mt. 28, 20).
Dans son message pour cette occasion, le Pape François a écrit : « Je sais bien que ce message te parvient à un moment difficile : la pandémie a été une tempête inattendue et furieuse, une dure épreuve qui s’est abattue sur la vie de tout le monde, mais qui a réservé un traitement spécial, un traitement encore plus rude à nous, les personnes âgées. Beaucoup d’entre nous sont tombés malades ; nombreux ont perdu la vie ou ont vu mourir leur conjoint ou leurs proches ; d’autres encore ont été contraints à la solitude pendant une très longue période, isolés. »
Un certain nombre de paroisses de notre archidiocèse ont des programmes de proximité pour les personnes âgées. J'encourage toutes les paroisses à chercher des moyens créatifs d'inclure et de soutenir nos personnes âgées qui risquent l'isolement.
Ottawa Cornwall Catholic Seniors (OCCS) est une nouvelle initiative de notre diocèse qui vise à encourager les aînés au niveau paroissial à s'entraider pour vivre une vie significative dans les dernières années de la vie. Nous avons un nouvel endroit sur le site Web du diocèse où l'on trouve des vidéos de formation pour créer des ministères pour les aînés et des projets comme les arbres téléphoniques, des renseignements généraux sur les activités pour aînés en paroisses dans le diocèse et les ressources communautaires disponibles pour les aînés plus fragilisés. Pour l'instant, ces liens sont provisoires : le contenu sera publié ici dès qu'il sera disponible.
Il existe de nombreuses choses très réalisables que nous pouvons faire pour soutenir nos paroissiens âgés et leur rappeler qu'ils ne sont pas seuls ou oubliés.
Patricia Marsden-Dole du Service de pastorale anglophone a travaillé en étroite collaboration avec des paroisses sur les moyens de soutenir les personnes âgées. Elle est une bonne personne ressource pour les paroisses qui cherchent des idées de programmes ou des idées faciles à mettre en œuvre (pmarsdendole@archottawa.ca).
Cette nouvelle journée internationale en l'honneur des personnes âgées et des grands-parents sera désormais célébrée chaque année le 4e dimanche de juillet. J'encourage les paroisses à marquer cette journée spéciale en honorant nos sœurs et frères âgés et en recherchant leur sagesse, leurs conseils et leurs prières.
Puissions-nous non seulement nous souvenir de la promesse de Jésus-Christ "Je suis avec vous tous les jours" mais aussi être ses instruments, en portant ce message à ceux et celles qui ont le plus besoin d'une présence compatissante.
Que Dieu vous bénisse.
Sincèrement,
✠ Marcel Damphousse
Archevêque d’Ottawa-Cornwall